Notre histoire

1880, début de la maison Richard

En 1880, Jean Richard (Originaire de Luxembourg) & Euphrasie Hollenfeltz s'établissent à Florenville et y créent le magasin "La Ménagère" dans la « Grand' rue », actuellement place Albert Ier.

2e génération

Leur fils cadet : Edgard Richard s'installe à côté d'eux et se lance résolument dans la réparation des vélos et motos. Au décès de son père en 1914, il reprend "La Ménagère" pour en faire une quincaillerie.

Développement des activités

Fin limier, il entreprend de plus le montage et la fabrication de cuisinières. Grâce à sa grande rigueur et son vrai professionnalisme, il remporte un énorme succès à la foire de Charleville-Mézières où il vend jusqu'à 105 cuisinières en une seule journée. Mais bientôt les droits de douanes pèsent lourdement sur les résultats de l'entreprise. Son esprit vif va trouver rapidement une solution à ce problème : il fait venir les cuisinières en pièces détachées afin de les remonter dans son atelier aux "Deux-Villes" juste au-delà de la frontière française.

La vente de meubles est arrivée

Non content de ses réalisations il ajoute à son palmarès une quincaillerie à Carignan. Fernand, le fils aîné d'Edgard, reçoit ce commerce en dot. A l'instar de l'esprit d'initiative de son père Fernand Richard étend ses activités à la vente de petits meubles.

La Ménagère

Quant au deuxième fils d'Edgard, Edmond Richard, il continue et amplifie l'activité de l'entreprise aux "Deux-Villes". En ce lieu, il partage en toute solidarité la maison avec ses ouvriers. Mais au décès de son père Edmond met fin à l'entreprise aux "Deux-Villes" et consacre toute son énergie à l'extension de la quincaillerie de Florenville.

Qui pense meubles, pense Richard

Quatorze ans plus tard, aux côtés de sa femme Léa Richard, il entreprend avec force et détermination la construction d'une toute nouvelle quincaillerie. Son flair et son sens aigus des affaires, le conduise à la vente de multiples produits et plus spécialement au lancement de la vente de petits meubles. En 1965, devant l'exiguïté du magasin et dans le but d'offrir à la clientèle un choix toujours plus étoffé, ils projettent d'ériger une nouvel espace commercial de plus de 2500 m² le long de la route de Bouillon : « Les galeries des meubles Richard » au slogan percutant de « Qui pense meubles, pense Richard ».

Meublez votre vie, meublez-vous à vie

En 1978 Béatrice Richard, fille d'Edmond et Léa Richard, reprend assistée de son mari Jean-Marie Hardy les "Galeries". A nouveau départ, nouvelle enseigne "Meubles Richard" et nouveau slogan "Meublez votre vie, meublez-vous à vie", énoncé prémonitoire d'une recherche de qualité, de beauté et de diversité.

5.500 m² de meubles de qualité

L'esprit d'entreprise, la compétence et l'amabilité conduisent directement au succès et au doublement de la surface commerciale (5500 m²). Suite au décès de son épouse, Béatrice, Jean-Marie Hardy assure courageusement la direction du magasin. Il s'entoure de personnes compétentes ayant le sens du beau, de la qualité et de l'accueil. Ainsi il sauvegarde ce magnifique fleuron. Depuis janvier 2004, Jean-Marie Hardy a intégré dans son équipe sa compagne actuelle Isabelle Ronjon. Cette dernière a su donner une impulsion plus design au magasin avec du mobilier de production européenne ayant des styles variés. A deux, ils poursuivent un rêve devenu grand.